En savoir plus

Adrien réserve la dernière parcelle récoltée de Petit verdot pour cette cuvée haut de gamme du Domaine de l’Orviel !

Planté sur un sol à marnes feuilletées, ce cépage que l’on retrouve dans les plus grands Médoc bordelais, est un cépage tardif et capricieux.

C’est sur des millésimes chauds qu’il exprime le mieux sa belle typicité pleine de fraîcheur et de vivacité. Cette parcelle de Petit Verdot est effeuillée  à la main, côté est. Les raisins sont récoltés mécaniquement mais avec un trieur embarqué afin de ne sélectionner que les fruits à parfaite maturité. Cette fois, la macération se fait uniquement à froid pour favoriser toute l’expression du fruit et préserver de la vivacité. Intensité et élégance, deux mots qui qualifient à merveille le cépage “Petit Verdot”.

Le jus est alors entonné en barriques de 500 litres de 10 vins (pas de fût neuf, surtout pas !!!!).

Après 12 à 24 mois d’élevage en fût, sa couleur pourpre et son nez de caractère où s’entremêlent réglisse, fruits noirs et épices ne vous laisseront pas indifférents. La bouche est charnue, profonde avec une jolie longueur.

A déguster sur une belle pièce de boucher, plats épicés et fromages forts.

Au pied du massif des Cévennes, le Domaine de l’Orviel, « vieil or » en langue d’Oc, s’étend sur 25 hectares. Exposée en coteaux, cette terre argilo-calcaire gorgée de soleil donne un terroir exceptionnel. Conseiller œnologue du domaine pendant 13 ans, Adrien Debaud a pris la suite de Jean-Pierre Cabane pour enfin faire “SON VIN”.

Pratiquant une agriculture raisonnée, la vendange est  récoltée mécaniquement et manuellement pour certaines cuvées. Après égrappage, les grains de raisins sont acheminés par gravité afin de conserver toutes les qualités gustatives des baies. Le recueil journalier des températures, la dégustation et les diverses opérations de remontage et de délestage permettent une qualité optimale de fermentation.

Le chai à barriques permet de vinifier des cuvées de blancs ainsi que l’élevage de certains rouges.

La qualité des raisins et une hygiène irréprochable de nos matériels nous permettent de limiter nos apports en sulfites.